La rubrique "L'oeuvre du mois" du magazine Diapason confie à un spécialiste quatre pages afin d'analyser une oeuvre, de parler du contexte historique de création, de l'interprétation et d'une discographie comparée. Ainsi de numéro en numéro, une histoire de la musique se dessine par quelques oeuvres-clés (dernières oeuvres analysées : Rhapsody in blue de Gershwin, Orphée et Eurydice de Gluck, Sonate pour piano de Scriabine, Stabat Mater de Vivaldi, Le vaisseau fantôme de Wagner).
L'article du dernier numéro est signé Gérard Condé et traite de l'opus 10 d'Anton Webern : Fünf Stücke für Orchester. Si le compositeur décrit ses pièces faites de "changements de couleurs en seize ou trente secondes", l'article parle d'"un effectif réduit à l'essentiel : dix-sept instrumentistes pour une panoplie de timbres inouïe". L'interprétation mise en exergue par Gérard Condé est celle de Gilbert Amy (à présent hors commerce) :
L'article du dernier numéro est signé Gérard Condé et traite de l'opus 10 d'Anton Webern : Fünf Stücke für Orchester. Si le compositeur décrit ses pièces faites de "changements de couleurs en seize ou trente secondes", l'article parle d'"un effectif réduit à l'essentiel : dix-sept instrumentistes pour une panoplie de timbres inouïe". L'interprétation mise en exergue par Gérard Condé est celle de Gilbert Amy (à présent hors commerce) :
Elle touche à la perfection par une exactitude sans sécheresse sur tous les plans. Il [G. Amy] recueillait l'héritage de Pierre Boulez, qui avait formé ces musiciens [ceux de l'Ensemble du Domaine musical].
Op. 10 de Webern par Gilbert Amy (3'50)
Alors oui, ces pièces frappent par leur modernité : quelles jeunes centenaires...
Disponibilité (Diapason)
Disponibilité (Op. 10)
Muriel
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